Haut de page.

pose d'un bracelet électronique sur une prothèse
errare humanum est

Bret Ravenhill, 29 ans, était dans l'obligation de porter un bracelet électronique de surveillance après avoir été jugé pour possession de cannabis. Un couvre-feu lui a donc été imposé toutes les nuits durant trois mois.

L'employé de la sécurité qui lui a placé le bracelet n'a apparemment pas remarqué que la jambe du jeune homme était artificielle, et lui a donc posé le bracelet au-dessus de la chaussette. En dépit des contrôles effectués toutes les quatre semaines, personne n'a pensé au fait que la jambe était une prothèse.Monsieur Ravenhill affirme avoir respecté son couvre-feu mais admet qu'il aurait facilement pu sortir le soir.
Le Korrigan