Anecdotes
Pendant une centaine d'années, Chambery a eu la responsabilité du Très Saint Suaire avant qu'il ne soit envoyer à Turin (ville italienne avec laquelle Chambery est d'ailleurs jumelée).
Il y a plein de trucs bizzares dans l'histoire de Chambery genre un jeune bourgeois nommé De Boigne, insoucient qui part en Inde, devient général là-bas et revient à Chambery complètement changé et fait profiter la ville de sa très grande richesse financière (au point qu'une grande statue nommée 'les 4 sans-culs', représentant 4 éléphants et le dénommé De Boigne, trône dans le centre ville en hommage au bienfaiteur de la ville).
Dans le même genre d'idée, il y a l'histoire d'un homme, venu d'on ne sait où, certains disent d'Allemagne, qui a été un bienfaiteur à Lyon et qui depuis a sa statue.
Ou encore l'histoire de ce noble occitan qui avait une croix rouge sur la poitrine, et qui après une jeunesse de débauche, s'est engagé dans les ordres, a fait voeu de pauvreté, et qui, de retour sur sa terre natale en tant que mendiant, accomplissait des miracles. Cette histoire a en plus été racontée par un écrivain ayant de solides connaissances rosicruciennes.
L'Enigme du Saint Suaire
Considérations générales et scientifiques
Le Saint Suaire représente à lui seul une énigme sur laquelle bien des scientifiques et des théologiens se sont penchés. Cette énigme prend différents aspects.
Cependant, force est de reconnaître que le point de vue le plus répandu, à savoir l'utiliser comme argument de foi, est une vision un peu simpliste du problème qu'il soulève. Pourtant, agnostiques et théologiens, croyants et sceptiques participent à ce débat et tentent tant bien que mal de percer ce mystère. Il serait cependant plus sage de considérer avant tout le Saint-Suaire comme un vestige archéologique et l'étudier comme tel, en dehors de toutes croyances idéologiques. De plus il serait intéressant de se lancer dans quelques conjectures au sujet de cette relique qui semble revêtir une importance de premier plan dans le Monde Occulte.
Dans un premier temps, nous nous intéresserons à l'objet en tant que tel et aux documents, écrits ou graphiques, qui y font mention.
Le Saint Suaire de Turin est une pièce de lin tissée en épi de 4,36 mètres sur 1,10 mètres sur lequel on observe les empreintes antérieures et postérieures d'un corps humain portant les stigmates et figé dans une attitude de rigidité cadavérique. Sa texture est celle d'un tissu antique et non médiéval. Des pollens de plantes recueillis à l'intérieur de l'étoffe ont été analysés et on a pu déterminer qu'ils provenaient des pays où le Saint Suaire était sensé avoir séjourné selon la tradition historique (cf plus bas).
Les études scientifiques portant sur la texture, le fil, la trame et les poussières déposée sur le Saint Suaire ne permettent de dire qu'il est postérieur au Ier siècle.
Mais ce qui a le plus déchaîné les passions, c'est l'image du Suaire autour de laquelle les problèmes se cristallisent. Comment l'image a-t-elle pu se former sur la toile ? Quelle est cette substance, si elle n'est pas de la peinture, qui a gravé l'homme du Saint Suaire ? Pourquoi apparaît-il en positif sur le négatif de la photographie ? Ces interrogations nous font pénétrer dans le domaine du mystère et de la spéculation.
La découverte par la photographie de Secondo Pia en 1898, de l'apparition en positif de l'homme du Saint Suaire sur le négatif, a incité de nombreux scientifiques à entreprendre des recherches sur le suaire. Devant ces phénomènes inexplicables, les savants ont poussé leurs investigations. Par l'emploi d'un ordinateur électronique, ils ont obtenu différentes interprétations de la face : visage tridimensionnel, ruisselant de sang, ou visage au repos.
Le fait qu'à l'aide des ordinateurs et des techniques héritées des travaux de la NASA on ait démontré que le visage du suaire est en trois dimension infirme l'hypothèse des négateurs de son authenticité qui prétendait que le suaire était un faux peint au IVième siècle. L'hypothèse selon laquelle les images du Saint Suaire étaient un faux obtenu vers la moitié du XIVième siècle avec un modèle en bois aspergé d'un acide minéral a été démonté par les travaux de Delfino Pesce en 1978.
Des scientifiques ont avancé plusieurs hypothèses au sujet de la formation de cette image :
Il pourrait s'agir d'images peintes postérieurement, mais, actuellement, l'analyse chimique permet de rejeter cette éventualité.
Ce pourrait être le résultat d'une fermentation entre l'étoffe, les arômates et l'ammoniac dégagé par la putréfaction des chaires, mais cela n'a pas été confirmé dans d'autres cas.
Ce serait une sueur de sang sur le visage du Christ (sueur d'ailleurs citée par l'Evangile dans l'épisode du Jardin de Getzemani).
Ce serait un phénomène d'irradiation d'énergie que les progrès de la science permettrons peut-être un jour d'expliquer de façon rationnelle.
Les recherches expérimentales les plus convaincantes nécessitaient l'emploi de myrrhe et d'aloès appliquées sur le cadavre au contact avec le tissu. Même si cela irait dans le sens de l'évangile selon Saint Jean (20 :6-8), on en tirerait donc, en substance, que la formation de l'image résulte d'un procédé strictement naturel.
Si de nombreux scientifiques contestent son authenticité, André Marion et Anne-Laure Courage, tous deux ingénieurs à l'institut d'optique d'Orsay ont mis en évidence la présence d'inscriptions grecques et latines sur le suaire. D'après leurs analyse et leurs études, elles prouveraient l'authenticité du linceul. Ces inscriptions sont disposées autour de la tête du linceul et tout laisse à penser qu'elles n'étaient déjà plus visibles au Moyen-Age. Certains paléographes confirment qu'elles sont plus antiques que médiévale et plus orientale qu'occidentales. Mais quelles sont donc ces fameuses inscriptions dont ils font mention? 'in necem ibis' (tu iras à la mort', 'nazarenus', 'I' et 'C' (initiale de Iesus Christus', 'PEZw' (grec archaïque signifiant 'faire', 'accomplire', dans le sens de 'faire un sacrifice'), et 'IHSOU' (Jésus)... troublant en effet ...
Cependant, dans l'état actuel des recherches, rien ne permet d'en prouver avec certitude l'authenticité, mais rien n'autorise non plus à en rejeter l'hypothèse. Une chose est certaine : c'est que cette accumulation d'indices situe le problème du Saint-Suaire au-dessus de la querelle apologétique. Mais il faut bien comprendre qu'on ne doit guère voir dans le Saint-Suaire une preuve de l'existence de Dieu, mais un témoignage qui accrédite la thèse de la réalité historique du Christ.
Considérations iconographiques
Cette image a été confrontée aux documents écrits et figurés. Le point de vue médico-légal, dans la description de la position du corps, des lésions et des stigmates, a été comparé aux écrits des Évangiles. Les traits ont été rapprochés de la très riche iconographie du Christ, depuis les représentations des Catacombes jusqu'aux crucifix médiévaux. Cela laisse à penser qu'un seul document est à l'origine de cette iconographie qui s'est propagée tant en Orient qu'en Occident, tout en conservant une grande fidélité au modèle original. De là à penser que l'homme du Saint Suaire serait ce modèle, il n'y a qu'un pas qu'il est aisé de franchir...
Considérations littéraires
Les plus anciens textes faisant mention du Saint Suaire sont bien évidemment les évangiles. Les trois évangiles synoptiques (selon Mathieu 27 :59, Marc 15 :46 et Luc 23 :53-54 et 24 :12) évoquent avec précision le linceul. Selon eux, Joseph d'Arimathie, après avoir obtenu de Ponce Pilate le corps du Christ, l'a enveloppé dans un linceul blanc. Luc complète ce récit en affirmant que lorsque Pierre arriva au tombeau, ' il ne vit que les linges qui étaient à terre '. Le témoignage de Jean (Jean 20 :6-8) est lui plus obscur. Il est à noter que Jean serait le seul témoin occulaire de la vie du Christ, si tant soit est que Jean l'Evangéliste et l'apôtre Jean soient bien une seule et même personne. Mais revenons à l'Evangile selon Saint-Jean. Selon cet écrit Nicodème aurrait apporté une mixture à base de myrrhe et d'aloès et qu'il en aurait enduit le corps du Christ avec Joseph d'Arimathie avant de l'envelopper dans le lin. Au moment de la Résurection, Jean parle de Simon (Pierre) qui vit dans le tombeau les linges roulés à part.
Sur ces récits se greffe un autre problème : le Christ a-t-il ou non été enterré selon la Tradition hébraïque. L'authenticité du Saint-Suaire est en effet lié à cette question puisque selon le rituel funéraire hébraïque, les morts devaient être lavés et enduits d'aromates. De ce fait, les traces de sang telles qu'on peut les voir sur l'empreinte du Saint Suaire auraient été enlevées... En plus de cela, il n'était pas dans les traditions hébraïques d'envelopper le mort dans un linceul... Pourtant, là encore, les évangiles, bien que parfois contradictoires, apportent un élément de réponse... Les écrits de Luc (Luc 24 :1) et de Marc (Marc 16 :1-2) tendent à démontrer que la toilette de Jésus n'aurait été faite ou achevée avant l'ensevelissement.
Enfin, un évangile apocryphe ' secundum Hebraeos ' écrit en araméen au début du IIième siècle dit ' Pierre accourut avec Jean au Sépulcre, et vit parmi les linges, les empreintes du défunt '. Ces lignes que les agnostiques trouveront sans nul doute peu crédibles, sont cependant révélatrices : elles sont la première allusion aux empreintes du Christ sur le Saint Suaire. Dès lors, on peut émettre deux hypothèses : la première est que le Saint Suaire était connu et célèbre à l'époque et donc mentionné par l'auteur. La seconde est que l'auteur l'avait lui même vu à Jérusalem. Ce texte, premier à mentionner le Saint Suaire en tant que tel, nous introduit dans la catégorie des éléments historiques relatifs à cette relique.
Les Sources Historiques
Dans le but de mieux comprendre ce que représente cette relique, il est nécessaire de nous attarder un instant sur son Histoire. Des chercheurs se sont penchés sur la question et ont tenté de reconstituer le chemin parcouru par le Saint Suaire depuis Edesse jusqu'à Turin, en passant par Constantinople, Lirey et Chambéry.
Séjour à Jérusalem
Ier siècle ap. Jésus Christ : C'est entre les années 60 et 80 de notre ère que furent rédigés les trois évangiles synoptiques. Celui de Jean, plus tardif (les spécialistes s'accordent à dire qu'il fut écrit vers la fin du Ier siècle). Ces quatres Évangiles attestent l'existence du Suaire avec plus ou moins de clarté. A cette époque, il reste, pense-t-on, caché à Jérusalem.
IIième siècle : Deux évangiles apocryphes, le premier selon Saint Mathieu, surnommé ' selon les Hébreux ', et le second, un évangile des ' Douze Apôtres ' le mentionnent.
400 : Sain0t Jérôme indique qu'il est gardé dans une église du Mont Sion.
VIième siècle : Justinien a fait relever les empreintes du Christ par des émissaires à Jérusalem.
570 : Saint Antonin martyr écrit qu'il est conservé dans un couvent sur le Jourdain.
640 : L'évêque Arculfe le vit lors de son pèlerinage à Jérusalem.
651 :. L'évêque Braulione de Saragosse déclare avoir vénéré le Saint Suaire à Jérusalem. Cette date est la dernière qui atteste de manière certaine, la présence du Suaire à Jérusalem.
VIIIième siècle : Saint Jean Damascène en 730, le cite dans une liste de reliques vénérées par la Chrétienté en Palestine. Toujours à la même période, il en est question dans le Missel Mixte de liturgie mozarabique selon la règle de Saint Isidore.
Xième siècle : L'empereur Constantin Porphyrogénète (905-959) décrit les empreintes du Christ relevées par Justinien sur le Suaire qui arrive sous son règne en 944 à Constantinople. Une théorie affirme que la Sainte Face aurait quitté Jérusalem depuis longtemps (date indéterminée) et qu'on l'aurait transportée à Edesse (Turquie). En 943, l'empereur Romain Lécapène aurait envahi la Turquie et assiégé Edesse afin de s'en emparer, et aurait réussi à la ramener à Constantinople (Byzance) en 944.
Vers l'an 1000 : Par un témoignage contradictoire, un moine agiopolite du nom d'Epifanio affirme l'avoir vue à Jérusalem.
Séjour à Constantinople
1143 : L'empereur Manuel Ier Comnène montre le Saint Suaire au roi Amauri de Jérusalem.
1147 : Visite officielle du roi LouisVII de France à Constantinople, qui le vénère.
1204 : Pendant la IVième croisade, le croisé Robert de Clary, note dans son journal,.que le Saint Suaire est présenté chaque vendredi au peuple, mais ajoute quelques années plus tard, qu'après la conquête, il a disparu.
1207 : Nicolas Indruntine et Nicolas Mésarites affirment qu'il était encore à Constantinople.
Séjour à Lirey en Champagne
1353 : Début de la construction d'une église par Godefroy de Charny, seigneur de Champagne, à Lirey pour y conserver le Saint Suaire. Pendant un siècle et demi, jusqu'à cette époque, il n'est mentionné nulle part. Quatre hypothèses ont été formulées. Premièrement, Godefroy de Charny l'aurait lui-même ramené d'Orient après le siège de Smyrne. Deuxièmement, Othon de la Roche, un des croisés de Constantinople, après l'avoir rapporté, l'aurait donné au Père Pontius de La Roche, qui l'aurait remis à la cathédrale Saint-Étienne de Besançon. Puis lors de l'incendie qui détruisit l'église en 1349, il a pu être soustrait par le seigneur de Vergy qui en fit cadeau à Philippe IV de Valois. Ce dernier, à son tour l'offrit à Godefroy de Charny. Une troisième théorie veut que Guillaume de Toucy, chanoine chantre de la cathédrale de Reims, qui eut la régence de l'empire latin de Constantinople, le donna à Godefroy de Charny, à son épouse ainsi qu'à ses neveux. Enfin, le suaire aurait appartenu aux Chevaliers du Temple, puisqu'ils ont été persécutés pour avoir adoré une face d'Homme, et que parmi ceux qui sont condamnés, en 1307, on relève un membre de la famille de Charny.
vers 1357 : premières Ostentations du (exposition d'une relique), linceul dans la collégiale de Lirey par Godefroy de Charny.
6 janvier 1390 : Pendant son séjour à Lirey, le Saint Suaire connait une grande popularité et le pape Clément VII, dans une Bulle, contraint l'Evêque de Troyes à déclarer 'à haute et intelligible voix ' pendant les Ostentations que la Sainte Face n'est qu'une copie peinte , une 'peinture ou tableau du suaire qu'on dit avoir été celui de Notre Seigneur Jésus Christ'. Les honneurs honneurs liturgiques dus à une relique authentiques lui sont refusés.
Juillet 1390 : Le Pape Clément VII en permet la dévotion.
De 1418 à 1452 : Pendant cette période, afin d'échapper au péril de la guerre de Cent Ans, le Saint Suaire effectue des séjours à Saint-Hyppolite, Chimay et Germolles (en Bourgogne).
Séjour à Chambéry en Savoie
1453 : Marguerite de Charny, cède la relique à Anne de Lusignan, femme de Ludovic 1er,duc de Savoie, dernière héritière de la dynastie du royaume croisé de Chypre, qui la dépose dans l'église Saint Francois à Chambéry, puis dans la Sainte Chapelle du Palais Ducal, inaugurée en 1467 par le duc Amédée IX.
1506 : Le pape Jules II permet le culte du Saint-Suaire, 'l''unique linceul dans lequel Notre Seigneur Jésus-Christ lui-même fut envoyé au tombeau'.
1532 : La chapelle ducale est incendiée : le coffre d'argent massif dans lequel le Suaire est conservé, est chauffé au rouge, ce qui provoque sur l'étoffe des brûlures. L'empreinte est à peine détériorée.
1534 : Les Clarisses effectuent des raccommodages sur le linceul alors que le Pape Clément VII de Rome demande à son légat de vérifier l'authenticité de 'ce linge appelé linceul de Notre Seigneur Jésus Christ'.
Séjour à Turin
1578 : Pour aller au devant de Saint Charles Borromée, archevêque de Milan, qui avait décidé de se rendre à pied en Savoie, pour le vénérer à la suite d'un voeu fait pendant une épidémie de peste, le duc Emmanuel Philibert de Savoie le fit transférer à Turin.
1694 : Le Saint Suaire est solennellement placé dans la chapelle de Turin construite par Guarino Guarini.
1898 : A l'occasion de l'Ostentations l'avocat Secondo Pia recoit l'autorisation de photographier le Suaire dont l'image apparaît en positif sur le négatif de la photographie.
1931 : Une nouvelle photographie confirme le caractère exceptionnel de la première.
1933 : Le Saint-Suaire est exposé publiquement lors de l'année Sainte de la Rédemption.
1939 : Premier congrès international réunissant à Turin des savants sur la question du Saint Suaire. La même année, il est transféré à Montevergine (Avellino) où il restera jusqu'à la fin de la guerre, en 1946.
1946 : L'archevêque de Turin, reprend le Saint Suaire qui réintègre la Chapelle et son reliquaire.
1950 : Premier colloque international qui se déroule à Rome et à Turin.
1959 : Fondation du centre international de Sindonologie à Turin, qui publie la revue Sindon.
1969 : Une commission d'experts est créée par l'archevêché de Turin, elle a la charge de constater l'état de conservation du Suaire et d'orienter les recherches.
1973 : Le 23 novembre, le Saint-Suaire apparaît pour la première fois à la télévision.
1978 : Solennelle exposition à l'occasion du IVième centenaire du transfert du linceul à Turin.
1980 : Jean Paul II vénère à Turin le suaire qu'on a déroulé spécialement pour lui.
1983 : Humbert II, dernier roi d'Italie, fait don du Saint Suaire au Pape.
1986 : A la demande du Cardinal de Turin, le Saint Suaire est soumis au test du carbonne 14 qui date la confection de la relique entre 1260 et 1390. Cependant, le russe Dimitri Kouznetsov a établi qu'une forte chaleur, telle que celle de Chambéry, peut ' enrichir ' un tissu en carbonne et le faire paraître plus jeune. André Marion et Anne-Laure Courage conteste aussi cette analyse en avançant que le fait que le suaire ait été raccommodé et en partie brûlé ont pu fausser la datation.
1988 : Les résultats de la datation au carbonne 14 sont publiés : le suaire daterait de 1260-1390.
11 avril 1997 : Le Saint suaire échappe une nouvelle fois miraculeusement aux flammes lorsque la cathédrale de Turin s'enflamme.
18 avril et 14 juin 1998 : le Cardinal Giovani Saldarini a projeté d'exposer à nouveau le Suaire au public.
Le domaine des Conjonctures
En 1966, H. Ashe a supposé l'éventualité que, à l'origine de la formation des images du Saint Suaire, il y ait eu un phénomène d'irradiation d'énergie ; la même hypothèse a été successivement formulée par Willis (1969) et par Carreno Etxeandia (1976) avec référence précise à l'énergie atomique.
Certains y voient le résultat du 'flash' de la Résurection...
Source
L'Histoire n°213, septembre 1997.
Universalis.
Archeologia n°130, mai 1979 & Presse.
Le Monde (n° mentionnant l'incendie).
Le Saint Suaire de Turin, de la relique à l'image, de Odile Celier.