Fiche descriptive
13€90
Chroniques On a volé la liberté ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Les Korrigans d'Austerlitz ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() | ![]() |
![]() ![]() ![]() ![]() Avec ses amis Charles, un gosse des rues, et Arthur, un vitrier battu par son père, Eugénie, amatrice de littérature policière, créé la Confrérie Vidocq, un club qui s’est donné pour but de résoudre les mystères et énigmes de la capitale… Leur première affaire : retrouver la trace de la Statue de la Liberté dérobée caisse par caisse durant son acheminement vers les Etats-Unis… Une bien dangereuse affaire qui aboutira sur un complot d’envergure internationale… ![]() Un récit d’aventure policière abracadabrantesque Mais si les deux séries sont portées par des personnages au passé tortueux et se déroulent à la même époque dans une société très clivée, Eugénie et les Mystères de Paris lorgne plus vers les séries feuilletonesques rocambolesques (voire carrément abracadabrantesques !) là où les Quatre de Baker Street jouaient la carte du réalisme. Mais la série ne s’adresse clairement pas au même public et l‘aventure concoctée par Éric Summer ravira à n’en pas douter les jeunes lecteurs amateurs d’aventures policière endiablée. L’album comporte de nombreuses références qui ne parleront qu’aux adultes, telle l’identité du jeune Edgar ou les références à Jules Vernes… De quoi aiguiser la curiosité des enquêteurs en herbe et, qui sait, de leur donner le goût de la lecture ! Les personnages principaux sont loin d’avoir livré tous leurs secrets, ce qui fait un excellent fil rouge pour les tomes à venir à même de captiver durablement le public ciblé…Le dessin tout en rondeur de Miriam Gambino, dessinatrice italienne qui signe à notre connaissance son premier album, s’avère tout à la fois expressif et dynamique, rendant les scènes d’action particulièrement virevoltantes et les membres de la joyeuse bande de la Confrérie Vidocq indéniablement attachants… ![]() ![]() Porté par une joyeuse bande d’attachants enquêteur réunis autour de la pétillante et intrépide Eugénie et par le dessin rafraîchissant et dynamique de Miriam Gambino, mêlant éléments fictionnels et faits historiques, On a volé la liberté marque le grand retour à la BD du scénariste de Ballerina, film d’animation qui a connu un grand succès auprès du public lors de sa sortie en décembre 2016… Alors ? Prêt pour l’aventure ? Notre club s’appellera le « Club Vidocq ».
|
||||
![]() |