Fiche descriptive Humour Ratafia Tome 1 Nicolas Pothier Frédérik Salsedo Greg Salsedo [treize étrange] Juin 2005 Chroniques Critique de la Série La folie douce du capitaineMon nom est capitaine Au rythme des éclats de riresPetit trésor loufoque Un Zèle Imbécile La croisière n'en finit plus de nous amuserFitzcarraldies Andréa c'est toi ! ( Boby Lapointe)Un Besoin de Consolation Un(e) livre de fous rires…Les Têtes de Vô La possibilité d’une île (de Phâques) |
Entendons nous bien : si vous aimez les BD déjantées bourrée d’humour servies par un graphisme magnifique et une mise en couleur impeccable, Ratafia est fait pour vous… Et si en plus vous aimez les histoires de pirates, alors là, c’est l’extase assurée! Nicolas Pothier, le scénariste déjanté, assisté par Frédéric et Greg Salsedo aux pinceaux, signent ici leur première et sans doute pas dernière bande dessinée… Le résultat est graphiquement superbe, drôle à souhait, truffé de perles d’humour drôle qui vous éclatent au visage au fil des cases… Les trognes de crétins finis de ces pauvres pirates que le nouveau capitaine a gagné aux cartes sont superbes et suffisent en elle même à vous faire hurler de rire… Si on ajoute à cela un scénario qui vous surprendra par son illogisme tendance surréaliste, de nombreux jeux de mots légers et sympathiques, des dialogues savoureux et percutant, une critique désopilante des clivages sociaux, et hop ! vous obtenez l’une des meilleur BD de cette année 2005… Et ce petit bonhomme de capitaine, totalement décalé, déjanté, excentrique, artiste à ses heures, dans un style pince sans rire est un vrai régal… Un vent de fraîcheur souffle sur la BD, souquez ferme moussaillon! Mais au fait un doute me turlupine: qui est ce Ratafia dont tout le monde parle???
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Petit délire sur le thème de la piraterie d’auteurs tous neufs, Ratafia sort du sillon de ces prédécesseurs par un ton décalé (voire délirant) et par l’entremise d’un Capitaine doué au jeu et plus philosophe que forban, qui reste son principal atout (dans la manche, hum…). Les péripéties sont un régal, mais j’admets que je trouve les chutes un peu redondantes sur la fin. Mais dans une vie de pirate, tout tourne autour des trésors, c’est bien connu. Alors… La conception graphique est impeccable, caricaturale et dépouillée. De vrais gueules de marins, de vrais trésors, de vraies îles désertes… La mise en couleur pastelle et patinée est splendide, quoi que je me demande ce qu’aurait donné l’album avec une palette plus pétante. La truculence des dialogues est au diapason de la forme, avec un capitaine d’une verve à vous faire pleurer sur un trésor fraîchement découvert, et qui n’a de cesse d’explorer…ses talents d’artiste. Bref, on est dans le décalé, dans la jonglerie des allitérations et des bons mots. On attend une suite…et ça c’est chouette…pardon…perroquet. Vous me suivez ?
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Pavillon Noir est un jeu de rôle basé sur l'histoire de la piraterie, qui couvre près de trois siècles depuis les Caraïbes jusqu'aux Indes Orientales, en passant par l'Afrique ou même l'Europe. Les joueurs sont appelés à interpréter flibustiers, gueux des mers, corsaires ou boucaniers et à se tailler une place dans la légende de la piraterie, aux côtés de l'Olonnais, Barbe Noire et autres Rackham le Rouge. |